Il réside au lieu-dit Commerçon, hameau de Trambly |
Il réside à Commerçon d'en Haut, hameau de Trambly |
Il réside à Lavau (Verosvres) |
Sur certain actes, le nom s'orthographie "JANENS". R. BOURQUIN indique qu'elle épouse en secondes noces en 1778 Thomas MORIN. Cependant l'acte tel que retranscrit sur le dossier CGSL 535 n'indique pas qu'elle est veuve. Est-ce bien la même Françoise JANIN ? A vérifier sur les R.P. originaux. |
Il habite "Commerçon" à Trambly. |
Il habite La Chapelle-du-Mont-de-France. |
Son parrain fut Etienne AUDUC et sa marraine Catherine BERGER. |
Son parrain fut Jean JANDOT, et sa marraine Jeanne DESCHAMPS. |
Son parrain fut Claude PROST, et sa marraine Louise LESCHERE. |
Son parrain fut Mathieu PROST de Charnay, et sa marraine Claudine CHEMARIN. |
Son parrain fut Philibert AUDUC, et sa marraine Jeanne COLIN. |
Il habite Charnay (Beaubery). Son acte de mariage n'est pas filiatif. Les témoins de ce mariage sont Mlle Catherine MORET-QUEVIN, Sieur Benoit GARNIER, Claude PROST et Jean JUGNON. Pierre JUGNON a une rendue du 13/11/1750 signée DUSSO Régis vector. ? Selon le contrôle des actes de Charolles (C1721), un C.m. a été établi devant DARGENTEL (cet acte n'est pas disponible dans les minutes DARGENTEL déposées aux A.D.). Il est précisé que Pierre JUGNON est manouvrier à Dun-le-Roy. Ascendance probable mais non prouvée |
Son parrain fut Gabriel DUCOEUR, philosophe, et sa marraine Mlle Antoinette BONNOT |
Propriétaire à Noireux (Le Rousset) en 1792. |
Elle est décédé avant 1792 |
Voir un partage chez PONDEVAUX le 04-07-1841 (3E14028). Vérifier si elle était présente au mariage de son fils Jean, car selon R. BOURQUIN, elle est décédée le 16-02-1830 à la Chapelle, soit le même jour que son mari Jacques LARONZE. |
veuf de Jeanne AUMONIER. |
En 1862, il est chanfournier à Trambly. |
Son parrain fut Benoit GOYARD, laboureur à Villars et sa marraine Claudine VIARD. Après Benoit, il eut 2 autres enfants de Véronique BERTHAUD, nés à Suin (1791 et 1793 ?). Il décéde au domicile de Claude LAPALUS son frère. |
En 1862, il est tuilier à Mâcon, section de St Clément. |
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