Éditions
Obsidiane |
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Critiques Extraits |
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Il y a dans le nouveau recueil de
Nimrod quelque chose de très circonvoisin de
Césaire et Senghor, qui suit l’un sur le chemin de
la rébellion supérieure, et l’autre sur
celui de la pacification par la langue. Un homme cherche sa vie dans sa
vie même, comme une boussole qu’il aurait
découverte dans l’âge mûr et
qui le réoriente par le poème. Il revisite alors
le demi-siècle de son existence sur terre – de son
quartier d’enfance à New York, de la
poussière ndjaménoise à la neige
d’Ann Arbor. |
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ExtraitsLes murs (extrait) Qui me redonnera l'odeur de
la maison d'enfance Babel, Babylone (extrait) Au loin le remugle des
cochons.
Comme ces derniers, |
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